L’administration Trump intensifie sa lutte contre la migration de masse en mobilisant son réseau diplomatique à travers le monde. Dans un télégramme daté du 21 novembre 2025, la Maison-Blanche a ordonné à ses ambassadeurs en Europe, au Canada et en Australie d’exercer des pressions sur les gouvernements locaux afin qu’ils durcissent leurs politiques migratoires.
Selon le document, les diplomates américains sont chargés de signaler tout incident impliquant des migrants, notamment ceux liés à des crimes violents, en les présentant comme une menace pour la sécurité et la cohésion sociale des pays d’accueil. Cette offensive diplomatique s’inscrit dans la vision du président Trump, qui déclare : « Une nation sans frontières n’est pas une nation. »
Dans la même logique, Washington a annoncé une réduction drastique du nombre de réfugiés admis sur le sol américain pour l’année 2026, avec un plafond fixé à 7 500 personnes – l’un des plus bas de l’histoire moderne des États-Unis. Cette orientation marque un durcissement supplémentaire de la politique migratoire américaine sous la nouvelle présidence Trump.
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